Mulhouse 12-19 juillet 2015
On a été accueilli en residence a Mulhouse dans le festival scènes de rue. On a passe 4 jours en residence et on devait jouer 3 fois une étape de travail. Notre lieu de travail, la foret, était a cote du zoo et on avait notre loge dans le zoo a cote de ourses polaires.
C’etait un grand changement pleins des nouveauté apres les forets en Finlande. D’abord la foret ressemblait plus un parc pour nous, on avait l’habitude d’être au milieu de nul part complètement en toure par la nature et la on se trouvait dans une foret qui était le lieu d’exercice pour les gens avec des routes et des tableaux indiquant des différents exercices.
Le deuxième grand difference était la temperature, la les 2 finlandaise étaient en train de fondre dans la chaleur.Les arbres sont plus grandes en France, la vegetation n’est pas la meme et l’ambiance n’est pas pareil. Bien sur le forets en France sont plus étrangers pour nous que ceux de Finlande.
Du coup adaptation!
En 4 jours on a fait 5 nouveaux scenes, les accroches dans les arbres, un filage, beaucoup du vélo et beaucoup du transpiration.On a commence a faire un peu des portees (je deviens porteuse...!) Vendredi le 17 a 14h30 était notre premiere presentation de Metsä en France. Les françaises étaient contentes de venir dans la foret avec nous. Comme public il y a aussi un difference entre les finlandaises et les françaises. On a demande du retour a la fin de notre presentation et on a beaucoup apprécie les discussions qu’on a eu avec les gens.
Samedi on a annule le premiere spectacle a cause de pluie (qui a fait du bien a la nature, qui a rendu l’air plus fraie et qui m’a permette de aller jouer avec les singes). L’apresmidi on avait beaucoup du public, plus de 100 personnes. Bonne experience, bon retour.
Pour la premiere fois avec cet projet on a eu quelque difficultés. Quelqu'un nous a pique l’échelle (super lourd) qu’on avait attache avec une chaine dans la foret. Quelqu'un de tres motive. J’espere que l’échelle va lui permettre de super choses! Une guêpe m’a pique entre les orteils et j’ai eu un tic.
En gros ca va plutôt pas mal toujours...
On est très heureuse d’avoir été accueilli dans cet festival. Ca nous permettait de essayer le concept avec un public different et avec une foret complètement différente. On a été vu en France et on espère que ca nous a servi pour la suite. On a appris beaucoup des choses de beaucoup des choses, jauge, lieu, demande, adaptation, explications... Cette experience était importante.
Merci pour le festival, merci Fred, Manue, Olivier, Alexandra, Emilie, Julien et Antoine. Merci sur tout a directeur de festival Fred pour la confiance et la gentillesse!
Maintenant on est en Finlande a Saaren Kartano, c’est un lieu de residence dans la campagne, c’est magnifique, on est bien ici et on est toujours contentes. On a retrouve la foret finlandaise, la temperature finlandaise et les nuits d’été finlandaises.
(quelqu’un nous avait pique notre échelle qui était dans le camion d’aikamoinen, on se fait piquer 2 échelles en 3 jours, les gens ont besoin d’échelles...)
Voila moi qui écris en française, j’utilise pas les ́`^ et j’écris comme je peux.
Pour finir un extrait de livre Women who run with wolves (les femmes qui courent avec les loups) par Clarissa Pinkola Estes.
“A l’endroit d'une blessure au psyché et au corps des femmes, on trouve une blessure correspondante dans la société, et finalement dans la nature elle même. Dans la psychologie holistique, ces mondes ne sont pas compris comme des entités séparées, mais plutôt comme interdépendants. Il n’est pas surprenant que dans notre culture on trouve un problème de manipulation du corp naturel des femmes, un problème similaire de manipulation des paysages, et finallement un problème de manipulation de la culture en différentes modes.
Admettons qu'une femme n’aie pas la possibilité d’arrêter la dissection de la culture et des paysages en un clin d'oeil, elle peut cependant arrêter de le faire à son propre corp.
La nature sauvage ne se fera jamais l’avocate de la torture du corp, d’une culture ou d’une terre.
La nature sauvage n’admettrait jamais d’organiser arbitrairement les formes pour prouver la valeur, le control, le caractère, la beauté ou le prix.”
-Viivi